Le texte et l'intrigue n'ont ici qu'une importance secondaire, l'accent étant mis sur le côté spectaculaire d'une pièce qui se termine dans une « apothéose burlesque ».
Elle met en œuvre la coercition, donc l'intervention des pouvoirs publics, car elle met l'accent sur la réparation des préjudices provoqués par le délit.
L'accent n'est guère mis sur les personnages de peu de volume, mais davantage sur les fonds travaillés où l'on trouve déjà : giclées, coulures, brossés à grands traits, etc.