Ainsi entendu, l'Éden n'est qu'une métaphore, sans rapport avec la réalité, en vue de rationaliser — sinon justifier — l'existence de la souffrance quotidienne.
Le discourt biblique qu'utilise le narrateur orang-outan et le décors évoquant l'Éden semblent confirmer qu'humains et animaux vivent à présent en harmonie dans un lieu paradisiaque.