Une hypothèse était que l’insulinorésistance induite par les glucocorticoïdes privait de glucose les tissus lamellaires sensibles, entraînant une destruction des lamelles.
Ils forment des masses granulaires compactes ou friables, fibro-lamellaires ou columnaires, qui enserrées dans les cavités peuvent pointer en rosettes.
Dans les hydroxydes doubles lamellaires, une fraction du métal divalent est substituée par un métal trivalent générant ainsi une charge positive sur les feuillets.