Elle regroupe donc un ensemble de mouvements de gauche comme le communisme, le marxisme, le maoïsme, le trotskisme, le léninisme ou encore l'internationalisme et l'anarchisme.
L'auteur attaque notamment les anti-révolutionnaires : « trotskisme et réformisme se donnent la main pour condamner la guerre de guérilla la freiner ou la saboter ».
L'autogestion est surtout défendue par les courants politiques se réclamant de l'anarchisme, du conseillisme, du communisme libertaire, le trotskisme ou du syndicalisme révolutionnaire.