Un individu doté d'une inhibition latente moyenne est capable de « mettre de côté » des informations cognitives superflues, tels le tic-tac d'une horloge, une odeur ou encore certains détails visuels.
Ce succès inespéré conduit le groupe à « américaniser » son style musical, c'est-à-dire rendre les mélodies plus évidentes, éviter les digressions superflues et accentuer le rythme.
Elle mentionne aussi l'adolescence comme une période critique du développement du lobe frontal, pendant laquelle les connexions cérébrales superflues sont abandonnées.