Guénon reconnut en conclusion qu’il avait exposé publiquement « des choses d’un caractère quelque peu inaccoutumé », sous-entendu qu’il dévoilait des informations normalement réservées à des initiés.
Ainsi, dès avril 1990, un mois après l'indépendance effective du pays, il regrette publiquement que l'effort de réconciliation nationale soit allé si loin.