À cet endroit, se trouvait, comme dans chaque anse du fleuve, des chantiers de bois, où s’affairait des ouvriers, tels que des équarrisseurs et des «cageux».
Cette absence de grandes entreprises n'est qu'en partie compensée par le travail à domicile de veloutiers, ouvriers de soie, fabricants de taffetas, passementiers.
Audierne renferme surtout beaucoup d'ouvriers soudeurs, et ce sont ces pauvres travailleurs qui sont le plus atteints par cette terrible crise sardinière.