Un neurobiologiste et un éthologue plaident pour un monisme matérialiste des manifestations psychiques du cerveau en insistant sur l'étude de l'ontogénie et de la phylogénie du cerveau humain.
Il considère le monisme comme une des formes du « dogmatisme », opposé au « scepticisme », et le subdivise en « monisme matérialiste » et « monisme idéaliste ».
Le monisme phénoménal s'est historiquement orienté dans deux direction opposées : le matérialisme (« monisme matérialiste ») et le spiritualisme (« monisme spiritualiste »).