Les grands barons bourguignons, préoccupés de sauver leur âme tout autant que de s'attirer les bonnes grâces du duc, ne pouvaient que suivre cet exemple.
S’arrachant aux ornières de l’amour banal, aux agenouillements devant la beauté féminine, l’auteur décrit les grâces suggestives des formes de l’Éphèbe.