Ils se nourrissent d'ambroisie (substance délicieuse, neuf fois plus douce que le miel, disait-on), de nectar (breuvage) et de la fumée des sacrifices.
Ou bien l'œuvre de quelque ornemaniste oriental à qui la forme humaine est interdite et qui voulant rappeler la femme, a tracé cette délicieuse arabesque ?