Cette épitaphe, logiquement rédigée soit en caractères alphabétiques araméens, soit en cunéiforme assyrien, dût être traduite depuis le "chaldéen" vers le grec.
Ce fut d'abord le long règne du cunéiforme, de style assyrien (signes gravés, de la forme d'un coin), puis s'imposèrent un temps les hiéroglyphes, signes figuratifs ou idéographiques.