Turgot considère que le cultivateur produit non seulement son salaire mais le « revenu qui sert à salarier toute la classe des artisans et autres stipendiés ».
Outre les colonels de régiments, certains cercles allèrent même jusqu'à nommer des généraux, qui avec leur état-major étaient stipendiés par les chambres souveraines des principautés membres pour commander les troupes.
Ce faisant, il prononce volontairement mal le mot μισθωτός / misthôtós, (« laquais, stipendié »), accentuant l'ante-pénultième syllabe au lieu de la dernière.