Le sabir est de même nature que le pidgin (une langue d'appoint créée pour les besoins de communication) mais théoriquement encore plus pauvre que ce dernier.
Si l'on ne peut pas parler de sabirs, il faudra évoquer l'emploi de langues véhiculaires adoptées à différentes époques, et dans diverses aires culturelles.
Le mot principal marquant l'élévation, celle de la pente et/ou des maisons successives qui l'escaladent jusqu'à la haute falaise protectrice, est ērectĭo, voire ērectatǐo dans un sabir gallo-romain.