Après repli des dernières forces, les envahisseurs continuent leur progression et prennent possession de la ville le 2 septembre, en imposant de fortes réquisitions.
Par prudence, on cultivait surtout des variétés fourragères au goût peu apprécié mais dont le risque de réquisition était nul et le rendement important.
L'année suivante, les combats terminés, la première manifestation de l’ingérence ennemie est la réquisition des bâtiments qui passent sous le joug de l’occupant.