Par le fourmillement des détails, tous chargés de sens, qui depuis toujours paraissent avoir transfiguré et poétisé chaque instant d’une existence ordinaire.
Nesterov a été le premier à poétiser ces hommes qui abandonnaient la passion du monde pour trouver leur bonheur dans la solitude et le silence de la nature.
Les auteurs trouvent le point de départ de ce récit dans une tentative de poétiser le rapport aux lunettes et de consoler les enfants qui se plaignent d'en porter.