Il existe 200 000 vaches grasses, indolentes et repues, qui mâchent en bonne saison les herbes moelleuses, ruminent parfois couchées après leur paisson au vert pâturage.
Mais la tradition orale conserve la mémoire d'un pâturage indivis, quelle que soit la multiplicité des acteurs, seigneurs contrôlant l'acensement, fermiers ou chaumistes.
Les montagnes sont propices au pâturage des moutons et les landes sont périodiquement écobuées pour maîtriser la croissance des bruyères et faciliter celle des plantes herbacées.