Les communes libres et bourgeoises jouent la solidarité avec le perdant, mais demandent avec véhémence paix et clémence pour clore la lutte fratricide.
Après lui la pratique du fratricide pour asseoir le pouvoir du sultan disparut, ses successeurs se contentant d'enfermer les autres prétendants dans divers sérails.
Tourné à la veille du cinquantenaire du soulèvement franquiste, le film se revendiquait, avant tout, comme un plaidoyer contre les conflits fratricides.