Celles-ci furent en parties revendues sous forme d'obligations à des épargnants un peu partout dans le monde donnant à cette crise une dimension mondiale.
Une surveillance des pratiques en ces domaines est toutefois nécessaire, d'où des dispositions dans divers pays visant tant à protéger l'épargnant qu'à éviter des taux usuraires pour l'emprunteur.
Le capital provient des dépôts de l'épargnant déduits du salaire (donc non soumis à l'impôt sur le revenu) et/ou parfois d'une participation de l'employeur, ces dépôts étant souvent mensualisés.