Ce traité expose l'état des plaies de l'homme après la chute : faiblesse, ignorance et concupiscence, traduits par les péchés : faiblesse, erreur et méchanceté.
Le tout était étalé avec art pour la concupiscence des yeux, sous des auvents ou appentis à demeure longeant des maisons métamorphosées elles-mêmes en autant de riches magasins (...).
Taṇhā recouvre les désirs brûlants (concupiscence, convoitise), « mais également le prurit spéculatif de l’insatiable mental qui fomente les apories métaphysiques ».