On reconnait là l'enseignement du karma comme conséquence d'une volition (cetanā) - la pensée détermine la fructification karmique de l'acte - ou, selon les mots d'enfant : « c'est l'intention qui compte ».
En ce qui concerne la conception des interventions, on peut envisager d'identifier les individus qui résident soit au stade de la motivation, soit au stade de la volition.
APAS est conçu comme une séquence de deux processus d'autorégulation continus, une phase d'établissement d'objectifs (motivation) et une phase d'objectif-poursuite (volition).
Les volitions sont inobservables, si ce n’est par introspection, et encore, leur auteur doit émettre alors une volition permettant d’avouer cette volition.