Les œuvres monodiques (empruntées aux répertoires sacré et profane) montrent toute la multitude des formes musicales de l’époque: conductus, séquence, prose, rondeau, lai, virelai, séquences et répons.
L'ars subtilior reprend les mêmes formes que l'ars nova : on y trouve des ballades, des madrigaux, des rondeaux, des virelais, des motets isorythmiques, des parties polyphoniques de messes.
Le codex contient de nombreux exemples des chansons de cour les plus répandues de son temps, comme les ballades, rondeaux, virelais et motets isorythmiques.