Les seuls critères valables restent cliniques, à l'appréciation du médecin, en un ensemble de signes d'intoxication urémique (nausées, vomissements, saignements, anorexie...).
Elles contiennent en effet de l'hémolysine, une toxine entraînant un syndrome hémolytique et urémique (destruction de globules rouges) détruite à la cuisson et à la dessication.
De plus, le traitement s'attachera à diminuer les conséquences de la maladie : troubles de l'équilibre hydro-électrolytique et de l'homéostasie, anémie, syndrome urémique avec troubles digestifs.
Chez la personne âgée et le jeune enfant, elle peut entraîner un syndrome hémolytique-urémique, c'est-à-dire une défaillance rénale aiguë nécessitant des dialyses, une anémie hémolytique et une thrombopénie.