Le nom de « tyrolienne » (machine à crépir) provient d'une ancienne méthode de finition de façades par des maçons venant de cette région italo-autrichienne.
Mise à part la tyrolienne, qui de par sa conception rudimentaire n'est pas répertoriée comme remontée mécanique, ces appareils sont administrativement classés comme téléphériques.