La ville va connaître au gré des vicissitudes de l'histoire des phases d'expansion et de récession que l'on peut lire encore à travers l'analyse typo-morphologique de l'espace urbain.
La typo-chronologie est principalement établie grâce aux exemplaires découverts en fouilles et datés par le matériel associé, mais aussi par l’iconographie des vases grecs.
Les métiers enseignés à l’époque étaient: compositeur typographe, imprimeur typo, stéréotypeur, héliograveur, sérigraphe, photolitographe et peintre en lettres (qui deviendra par la suite peintre en publicité puis réalisateur publicitaire).
Cette vision est très proche de celle des archéologues actuels (qui définissent des « cultures » évoluant dans l'espace et dans le temps, à travers des outils comme les tableaux typo-chronologiques).
D'autres noms sont relevés : almasyi, altaica, dauvergnei, fasciata, filippi, hemalayanus, lydekkeri, merzbacheri, pedri, sakeen, skyn (peut-être une typo mise pour sakeen), et wardi.
Le mot stratotype associe la racine latine stratum (couche, couverture) et la racine grecque typos (empreinte, marque) qui en latin a donné tipus (modèle, symbole).