Ce primate de petite taille (25 centimètres de long) devait ressembler aux tarsiers actuels avec de très grands yeux et de grandes oreilles, typiques de leur activité de chasse nocturne.
Ces derniers regardent la très grande proximité morphologique, physiologique et écologique entre les tarsiers et les autres prosimiens comme une raison suffisante pour conserver ce taxon.
Si un chasseur de têtes rencontrait un tarsier, il devait se retourner immédiatement ou risquait d'être frappé par les esprits ainsi que sa communauté par un sort.
Malgré sa redécouverte récente, le tarsier pygmée semble grandement menacé d’extinction en raison de son habitat très réduit et de la déforestation massive pratiquée sur son territoire.
Il en déduit que comme pour les chouettes, les yeux des tarsiers sont capables d'avoir un ajustement de position lent et fin en cas de luminosité très faible.