L'arrêté fixait ses dimensions et tout au long de son tracé linéaire, les propriétaires riverains étaient sommés de planter des tamariniers à "20 pieds de distance les uns des autres".
Les arbres, même les tamariniers et les gumbo-limbos sauvages, ne dépassent que très rarement les 15 mètres à cause du vent, des vagues de froid et de la foudre.