Nombre de spéléologues sont impliqués dans les deux volets, les clubs participant par exemple à des opérations de sécurisation ou de dépollution des sites souterrains.
Jusqu'en 1810, des caves et souterrains y existaient, suffisamment vastes pour que des conscrits réfractaires puissent s'y cacher et y être quasiment introuvables.
Fin septembre 2011, des bruits souterrains sont enregistrés dans les localités environnantes et l'activité sismique reprend entraînant l'apparition d'une fissure dans le cratère principal.
Au bord des fleuves, les zones d’acuponcture peuvent inclure des réservoirs d’eau de pluie souterrains et agir comme contre les inondations comme éponge.