La délégation poméranienne accepte les décisions seulement « ad-referendum » (c'est-à-dire sous réserve d'en référer) et refuse de s'acquitter de ses obligations financières.
Une grève générale est déclenchée en 1992, et la politique de privatisation est très largement désavouée par referendum (71,6 % contre la privatisation des télécommunications).
On atteindra, en 1989, le seuil de 100 000 habitants qui dans la motivation de rendre leur territoire administrativement indépendant de la capitale, mirent en place un referendum populaire.