Sous ce vocable, il définit un réformisme révolutionnaire qui parviendrait au socialisme libertaire sans révolution mais par la participation électorale.
Ce versant économique du socialisme à visage humain ne vise pas l'économie de marché ni le renversement du socialisme, mais constitue un réformisme socialiste.
Autodidacte, électique politiquement et intellectuellement, il adhéra d’abord à un socialisme de type proudhonnien, pour se rallier plus tard au réformisme, devenant alors parlementaire.
Sur la stratégie électoraliste : certains prônent le réformisme tandis que d'autres prônent la stratégie révolutionnaire ou contre-révolutionnaire selon les tendances.