L'efficacité (relative) de ces méthodes reposerait sur différents moyens d'agir ou rétro-agir sur le système neurovégétatif (orthosympathique / parasympathique) impliqué dans le réflexe d'éternuement.
Ces techniques, considérées comme « éthiques », tirent parti de la « gourmandise » et du réflexe atavique des oies qui se gavent naturellement en prévision de la migration d'hiver.