Il applique une politique économique inspirée de l’ordolibéralisme privilégiant la recherche de la stabilité monétaire et la responsabilité individuelle au détriment du plein-emploi et de la hausse des salaires.
Caplan nomme préjugé pro-emploi (make-work bias donc littéralement "création d'emplois artificiels") la "tendance à sous-estimer les avantages économiques de l'absence de plein-emploi".
Selon les initiants, cette « immigration incontrôlée […] menace notre liberté, notre sécurité, le plein-emploi, la beauté de nos paysages et en fin de compte notre prospérité ».