Plusieurs revues contemporaines de l'époque notèrent le pathétique que la peinture évoquait, et associèrent l’œuvre à la littérature anti-esclavagiste « radicale » ou « sentimentale ».
Les derniers écrits du chef bolchévique, presque pathétiques — il meurt quelques mois plus tard — vont, par une brièveté imposée par les circonstances, à l'essentiel.
Il abandonne les sujets pittoresques des représentations idéalisées du paysage de nombreux contemporains en faveur d'une expérience émotionnelle immédiate, parfois pathétique, de la nature.