Or, c'est un paralogisme, c'est-à-dire une logique tronquée, qui vise à établir une identité, une continuité entre deux entités qui sont en fait séparées et discontinues.
D'autres mots viennent du grec, comme laconisme, ostracisme, cathétérisme, paralogisme, sophisme, antagonisme, charisme, chromatisme, parallélisme, hellénisme, anévrisme, éréthisme, rhumatisme, traumatisme.
On distingue généralement deux types de raisonnements fallacieux : le sophisme, qui est une argumentation destinée à tromper autrui, et le paralogisme qui est une erreur de raisonnement involontaire.
Elle se caractérise par un usage important de la logique mathématique et plus généralement par une grande attention portée au langage comme source d'illusions et de paralogismes.
Un faux syllogisme, c'est-à-dire un « sophisme » ou un « paralogisme » selon qu'il est volontaire ou non, est un syllogisme invalide, donnant lieu à un paradoxe.