Ce champignon phytopathogène est responsable du dépérissement nectrien, maladie cryptogamique qui affecte le pommier et d'autres espèces d'arbres ou arbustes (pêcher, groseillier, framboisier).
Les plantes-hôtes sont le plus souvent des rosacées : (pommier, poirier, abricotier, cognassier, parfois pêcher et prunier), mais aussi le noyer (famille des juglandacées).