Des hommes jeunes, une douzaine, enchaînent des tableaux vivants, en groupe entier ou en petits groupes, et figurent une histoire rapide du monde autochtone néo-calédonien.
De plus, tout comme le camp loyaliste, il a connu de fortes divisions depuis que le débat politique néo-calédonien a transcendé la simple question d'opposition ou de soutien à l'indépendance.
Avec l'essor du numérique et la démocratisation du montage vidéo, le cinéma amateur néo-calédonien va connaître un important développement dès la fin des années 1990.
Ce nombre continue à baisser en 2011, malgré pourtant cette année-là un regain d'activité pour le tourisme néo-calédonien, pour retomber à 17 040 personnes.