La calligraphie a été pratiquée en permanence jusqu'à l'apparition de la mécanographie : tous les actes publics et privés, les édits royaux, les traités, étaient écrits à la main.
Le traitement de la comptabilité générale était donc uniquement réservé aux positionneuses comptables à introduction frontale, qui évoluaient dans l'ombre de la mécanographie d'abord et des ordinateurs ensuite.