En 1866, il avait été nommé lieutenant de louveterie, et à partir de 1873 surtout, n'étant plus sous-préfet, il s'attaqua au problème des loups qui proliféraient dans sa région.
Il est évoqué à de nombreuses reprises comme grand veneur, lieutenant de louveterie et grand chasseur, et pour ses connaissances en élevage des chiens.