Le cymbalum accompagne bien souvent le violon tzigane sur des romances langoureuses alternées de czardas rapides au rythme parfois effréné, en faisant rebondir les deux maillets en trémolo.
Le rythme est généralement langoureux et empreint de tristesse, certainement en rappel des vieux souvenirs malheureux connus par le peuple autour des siècles passés.
Sa beauté voluptueuse, sa pose langoureuse et son charme séduisant ne laissent pas transparaître sa puissance latente qui ressort pourtant dans l'attitude des animaux totalement sous son emprise.