L'individu peut être également indisposé par la fréquence de ses distractions, surtout si elles lui font perdre un bonne part des facultés qu'il mobilise ordinairement.
Cependant, il se montre particulièrement indisposé par le domaine après des visites des champs de bataille et finit par décrire la guerre comme « pazzia bestialissima » (une « folie bestiale »).