La sobriété du procédé contrastait avec les méthodes pleines d’emphase et de grandiloquence employées depuis une quinzaine d’années par le prince nouvellement déchu.
La composition n'apporte pas de réelle nouveauté par rapport aux précédents albums, le chant est empreint d'une « grandiloquence forcée », l'ensemble manque de personnalité.
Ces trois concertos sont assez différents de tout autre concerto mozartien : ce sont des œuvres relativement intimes, en dépit de la grandiloquence burlesque du dernier.