La presse définit souvent cette action de façon très métaphorique comme celle d'un « homme de l'ombre », une « éminence grise » qui « tire les ficelles ».
Il est possible de créer des mécanismes variés (portes, créatures, ascenseurs, balancelles, véhicules, etc.) en associant les objets à l'aide de liaisons mécaniques (boulons, ficelles, ressorts, treuils, pistons, etc.).
Les fibres centrales du corps de la corde, communément surnommées the guts (les tripes) étaient parfois retirées lorsque des ficelles plus fines étaient requises.