Il est toujours pratiqué en littérature, et la question de qualité dépend grandement, comme aux débuts du genre sans doute, du talent de « feuilletoniste ».
Ses succès d'écrivain et de feuilletoniste pour divers journaux lui suffisaient, du reste, pour maintenir son train de vie dans la capitale prussienne.
Il était conscient des limites de ses compétences dans le domaine et écrivait toujours en tant que feuilletoniste, abordant la thématique d'une pièce de façon subjective et intuitive.
Le feuilletoniste assiste d'ailleurs lui-même à l'exode et témoigne de l'entassement des foules sur les grands axes, des files d'automobiles, de la panique.