La critique principale porte sur la fadeur des effets visuels et le fait que le jeu ne capturera pas l'imagination de ceux qui n'apprécient pas le jeu d'échecs.
Par analogie, la fadeur est une caractérisation qui désigne une chose qui, sans manquer de beauté, ne titille pas, est monotone, proche de la banalité, manque de force ou contraste.
Ce sont d'abord les salades (endive, laitue, mâche, romaine, scarole, etc.), souvent accompagnées d'un assaisonnement du fait de leur fadeur naturelle, mais aussi le chou, l'épinard, l'oseille, et le céleri.
Mais ses personnages manquent d’épaisseur et de vie, faisant de ses tragédies un assemblage étrange d’énergie et de fadeur, d’atrocités et d’inconsistance.