Ses manuscrits révèlent qu'au cours de ses lectures, il marque la césure de certains vers, ou les sonorités de berceuse dans les passages rythmés, les cadences et les passages euphoniques.
Ce /z/ euphonique s'explique par la surreprésentation du "s" de liaison devant yeux et la difficulté de commencer une phrase ou un syntagme par un yod.