Quelques mois après l’abolition des privilèges, la paroisse sera le théâtre d’émeutes paysannes, réclamant des seigneurs locaux le renoncement à leurs droits féodaux.
Tout en défendant âprement leurs droits, ils montrèrent souvent dans l'application ou la perception de ces droits, une grande modération à l'égard de leurs manants.