De nouvelles preuves annoncées par les archéologues en 2013 indiquent que le sous-marin se serait trouvé trop proche du point de détonation, subissant des avaries.
En pratique, un léger surplus de gazole est ajouté, car une sous-dose diminue l'efficacité alors qu'une surdose amène la formation de fumées après la détonation.