Celui-ci manifestant des désirs d'indépendance, elle tente de l'empoisonner, probablement vers 121 mais, méfiant, il oblige sa mère à boire le poison qu'elle lui destinait.
Valentine se demande comment lui, vulgaire criminel sans foi ni loi, a pu mériter de voir tous ses désirs comblés, et d'avoir un fidèle valet obséquieux pour le servir.