Face à cette insubordination, le souverain entame, le 23 août 1945, une « grève royale » durant laquelle il refuse de contresigner les actes du gouvernement.
Le patriarche refuse d'y participer car il considère que le sujet abordé relève seulement d'un concile œcuménique, et il refuse ensuite de contresigner l'édit.