Les consonnes nasales [ŋ] et [ ɲ] n'existent qu'en tant qu'allophones de [n] dans des groupes de consonnes où se succèdent des consonnes vélaires et palatales.
Une autre distinction est faite entre les consonnes voisées, entraînant la vibration des cordes vocales, et les consonnes sourdes considérées comme moins sonores.