Signe de la révolte, le maloya va devenir le symbole fort d'une identité réunionnaise qui sort enfin de sa clandestinité pour s'épanouir au grand jour.
Le syndicat de la magistrature estime au contraire que ce centre est d'une « illégalité totale (...) aggravée par la clandestinité » et exige en vain sa fermeture.